Préambule : allez savoir pourquoi je n’ai pas publié cette mini review à l’époque, j’ai dû penser que c’était le cas et zapper ensuite, super… Toujours est-il que je viens juste de la retrouver au hasard dans mes brouillons, alors comme avec le recul il s’agit définitivement d’un de mes coups de coeur de 2012, fuck it, mieux vaut tard que jamais, toussa, autant vous en faire profiter. Et pour la peine, j’ai rajouté une poignée de friandises locales complémentaires.
Omar Aura – Auradon Sessions: The American Don
Laisser une réponse